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La Fête de la Dédicace.Quels sont les objectifs que nous nous proposons d'atteindre ?
Lors de la dernière Étude, nous avons scruté l'épisode de la guérison de l'aveugle de naissance : dans ce récit du miracle que fit le
Christ, nous avons vu toutes les mésaventures que peut encourir quelqu'un qui fait un acte de Foi envers l'Homme-Dieu:
il subit l'exclusion du corps social et même de sa famille. L'aveugle, désormais guéri, fait une admirable profession de
Foi, en disant au Christ : « je crois, Seigneur » et en se prosternant devant lui. Par contre, les Juifs ne croient pas
et ne savent pas comment ce prodige s'est accompli ; ils ne savent pas davantage d'où est Celui qui a accompli ce miracle.
Jésus est venu « pour un jugement » : et de fait, une scission se fait parmi les Juifs, et ces derniers accomplissent pour
la troisième fois le péché contre l'Esprit, en affirmant que le Christ « a un démon », c'est-à-dire en imputant aux Puissances
des Ténèbres les œuvres accomplies par le Christ. Désormais, la scission est accomplie : le peuple élu a manqué à sa vocation.
Par contre, le Christ se définit comme le « Bon Berger » - comme la Porte unique qui mène au Royaume. Il n'existe pas
d'autres portes : la voix du Christ est exclusive. Parallèlement au récit de ce miracle, sur l'autre versant de l'Évangile,
le récit de la guérison du fils du fonctionnaire royal montre que l'appel du Christ est authentiquement universel,
indépendamment de la situation sociale de celui qui est appelé - indépendamment de l'identité ethnique du candidat au
Royaume.
Nous poursuivons notre quête : sur un versant de l'Évangile, nous allons découvrir la polémique échangée entre
le Christ et les Juifs, à Jérusalem, lors de la Fête de la Dédicace et, sur l'autre versant du texte évangélique, nous lirons
le récit de la conversion des Samaritains. Dans les deux textes, nous nous appliquerons à en découvrir à la fois le sens et
la structure - et à en souligner les versets essentiels.
Voici le texte :
10 22 Il y eut alors la fête de la Dédicace à Jérusalem. C'était l'hiver.
23 Jésus allait et venait dans le Temple sous le portique de Salomon.
24 Les Juifs firent cercle autour de lui et lui dirent : « Jusqu'à quand vas-tu nous tenir en haleine ? Si tu es
le Christ, dis-le-nous ouvertement. »
10 25 Jésus leur répondit : « Je vous l'ai dit, et vous ne croyez pas. Les œuvres que je fais au nom de mon Père
témoignent de moi ;
26 mais vous ne croyez pas, parce que vous n'êtes pas de mes brebis.
27 Mes brebis écoutent ma voix, je les connais et elles me suivent ;
28 je leur donne la vie éternelle ; elles ne périront jamais et nul ne les arrachera de ma main.
29 Mon Père, quant à ce qu'il m'a donné, est plus grand que tous. Nul ne peut rien arracher de la main du Père.
30 Moi et le Père, nous sommes un. »
10 31 Les Juifs apportèrent de nouveau des pierres pour le lapider.
10 32 Jésus leur répondit : « Je vous ai montré quantité de bonnes œuvres, venant du Père ; pour laquelle de ces
œuvres me lapidez-vous ? »
33 Les Juifs lui répondirent : « Ce n'est pas pour une bonne œuvre que nous te lapidons,
mais pour un blasphème et parce que toi, n'étant qu'un homme, tu te fais Dieu. »
34 Jésus leur répondit : « N'est-il pas écrit dans votre Loi : J'ai dit : Vous êtes des dieux ?
35 Alors qu'elle a appelé dieux ceux à qui la parole de Dieu fut adressée - et l'Écriture ne peut être récusée -
36 à celui que le Père a consacré et envoyé dans le monde vous dites : "Tu blasphèmes", parce que j'ai dit :
"Je suis Fils de Dieu"!
37 Si je ne fais pas les œuvres de mon Père, ne me croyez pas ;
38 mais si je les fais, quand bien même vous ne me croiriez pas, croyez en ces œuvres, afin de reconnaître une
bonne fois que le Père est en moi et moi dans le Père. »
10 39 Ils cherchaient donc de nouveau à le saisir, mais il leur échappa des mains.
Première partie (10; 22-24) :
10 22 Il y eut alors la fête de la Dédicace à Jérusalem. C'était l'hiver.
23 Jésus allait et venait dans le Temple sous le portique de Salomon.
24 Les Juifs firent cercle autour de lui et lui dirent : « Jusqu'à quand vas-tu nous tenir en haleine ? Si tu es
le Christ, dis-le-nous ouvertement. »
La péricope commence par une mise en situation : « On célébra alors à Jérusalem la fête de la Dédicace.
C’était l’hiver.
Lorsque le saint Evangéliste Jean dit que « c’est l’hiver », il ne s’agit pas seulement d’une indication climatique !
C’est l’hiver de l’incroyance, de l’aveuglement de la part de ceux qui voudront lapider le Christ.
Jésus circule dans le portique de Salomon (c’est sous ce même portique que se tiendra la première communauté chrétienne:
Actes 5 ; 12). Le Christ est le Salomon véritable, qui dispense la Sagesse « Parole toute puissante qui
s’élance du Trône royal » (Sagesse 18 ; 14) - Parole qui reviendra auprès du Père après avoir accompli sa mission (Isaïe 55 ; 11).
Les Juifs font cercle autour de Lui, et exigent une déclaration claire. C’est l’ultimatum :
parallèle à : Dernière partie (10; 39) :
10 39 Ils cherchaient donc de nouveau à le saisir, mais il leur échappa des mains.
Les Juifs qui faisaient cercle autour de Jésus au début du récit, veulent maintenant l’arrêter, mais ne le peuvent.
Deuxième partie (10; 25-30) :
10 25 Jésus leur répondit : « Je vous l'ai dit, et vous ne croyez pas. Les œuvres que je fais au nom de mon Père
témoignent de moi ;
26 mais vous ne croyez pas, parce que vous n'êtes pas de mes brebis.
27 Mes brebis écoutent ma voix, je les connais et elles me suivent ;
28 je leur donne la vie éternelle ; elles ne périront jamais et nul ne les arrachera de ma main.
29 Mon Père, quant à ce qu'il m'a donné, est plus grand que tous. Nul ne peut rien arracher de la main du Père.
30 Moi et le Père, nous sommes un. »
« Jésus leur répondit » est la formule introductive de cette partie.
Jésus constate la démarche négative des Juifs : leur incroyance.
« Les œuvres que Je fais au Nom de mon Père Me rendent témoignage »
Le Christ fait référence aux œuvres – l’œuvre de Dieu est la Foi qui s’éveille en celui qui ouvre son cœur au Christ
(6 ;29) et par Lui, connaît le Père – et reçoit de Lui la Résurrection et la Vie, passe au-delà de la mort et connaîtra le Jugement
comme étant l'expérience de l’accès à l’intimité de Dieu.
C’est le constat de « blocage » de la part des Juifs, qui ne peuvent accéder à la connaissance.
« Parce que vous n’êtes pas de mes brebis » : après le triple péché contre l'Esprit, la trahison du Peuple élu est
définitive ; ils ne font désormais plus partie du projet de Salut du Christ.
« Mes brebis écoutent ma voix ; Je les connais et elles me suivent ». Le Christ reprend les termes de la péricope
précédente (10 ; 16 et 14).
« Je leur donne la Vie éternelle, elles ne périront jamais ». Dans la péricope précédente, le Christ disait : « Je suis venu pour
que les brebis aient la Vie, et l’aient en abondance » (10 ; 10).
« Et nul ne les arrachera de ma main ». Voici un élément nouveau : l’Ennemi reculera devant la puissance du Christ.
Regardons avec attention le verset suivant (v. 29) :
C’est l’affirmation fondamentale : l’Unité de Dieu n’est pas contradictoire avec le fait que le Christ est engendré du Père.
parallèle à : Avant-dernière partie (10; 32-38) :
10 32 Jésus leur répondit : « Je vous ai montré quantité de bonnes œuvres, venant du Père ; pour laquelle de ces
œuvres me lapidez-vous ? »
33 Les Juifs lui répondirent : « Ce n'est pas pour une bonne œuvre que nous te lapidons,
mais pour un blasphème et parce que toi, n'étant qu'un homme, tu te fais Dieu. »
34 Jésus leur répondit : « N'est-il pas écrit dans votre Loi : J'ai dit : Vous êtes des dieux ?
35 Alors qu'elle a appelé dieux ceux à qui la parole de Dieu fut adressée - et l'Écriture ne peut être récusée -
36 à celui que le Père a consacré et envoyé dans le monde vous dites : "Tu blasphèmes", parce que j'ai dit :
"Je suis Fils de Dieu"!
37 Si je ne fais pas les œuvres de mon Père, ne me croyez pas ;
38 mais si je les fais, quand bien même vous ne me croiriez pas, croyez en ces œuvres, afin de reconnaître une
bonne fois que le Père est en moi et moi dans le Père. »
« Jésus leur répondit » est la formule introductive de cette partie qui est identique
aux premiers mots de la partie parallèle.
Dans la partie parallèle, Jésus constate : « vous ne croyez pas ».
Ici, les Juifs confirment cette incroyance, en disant : « toi, qui n’es qu’un homme, tu te fais Dieu » (v. 33).
Dans la partie parallèle, Jésus dit de ses brebis : « Je leur donne la Vie éternelle ». Ici, Jésus cite le psaume 81, verset 6 :
« J’ai dit : vous êtes des Dieux ». La Vie est la divinisation. Assurément, les brebis « ne périront jamais » (10 ; 28),
une fois qu’elles partageront la Vie divine, issue du Père et donnée par le Christ.
Le Christ revient sur la notion des œuvres qu’Il évoque dans la partie parallèle : « si Je fais (les œuvres de mon Père),
croyez en ces œuvres afin que vous ayez connu et connaissiez que : »
C’est le parallèle de l’affirmation fondamentale (v. 30) : qui croit au Christ, connaît le Père, puisqu’Ils sont UN.
Partie centrale (10; 31) :
10 31 Les Juifs apportèrent de nouveau des pierres pour le lapider.
Le verset 31 sert de charnière entre les deux parties porteuses de l’affirmation
fondamentale : « Les Juifs apportèrent des pierres pour le lapider ».
C’est l’aboutissement du mécanisme meurtrier de la Loi. Celle-ci exige que celui qui « blasphème le Nom » (Lévitique 24 ; 11)
soit lapidé, afin que personne ne se rende impur en touchant le condamné. La personne humaine est broyée
par l’application de la Loi.
Or, que dit le Christ lorsqu'Il affirme qu’« on ne peut abolir l’Écriture ? » (10 ; 35) Il dit : « La Loi appelle des Dieux
ceux à qui s’adressait la Parole de Dieu ». Au lieu de détruire l’être humain, il apporte à sa Créature qui accepte de
s’ouvrir librement et consciemment à l’amour de son Créateur, un accomplissement auquel cette créature ne pouvait même
rêver jusque là. C’est une Loi de Vie, et non pas la cruelle caricature que tentent d’appliquer les Juifs, lorsqu’ils
apportent des pierres pour étouffer la voix du Fils de l’Homme.
PARALLÈLE (4; 39-45) :
Voici le texte :
4 39 Un bon nombre de Samaritains de cette ville crurent en lui à cause de la parole de la femme, qui attestait : « Il m'a dit tout ce que j'ai fait. »
4 40 Quand donc ils furent arrivés près de lui, les Samaritains le prièrent de demeurer chez eux. Il y demeura deux jours,
4 41 et ils furent bien plus nombreux à croire, à cause de sa parole,
42 et ils disaient à la femme : « Ce n'est plus sur tes dires que nous croyons ; nous l'avons nous-mêmes entendu et nous
savons que c'est vraiment lui le Sauveur du monde. »
4 43 Après ces deux jours, il partit de là pour la Galilée.
44 Jésus avait en effet témoigné lui-même qu'un prophète ne jouit d’aucun égard dans sa propre patrie.
4 45 Quand donc il vint en Galilée, les Galiléens l'accueillirent, ayant vu tout ce qu'il avait fait à Jérusalem lors de la fête; car eux aussi étaient venus à la fête.
La péricope parallèle à ce passage est le récit qui montre la Foi des Samaritains, suite au
témoignage de la femme qui venait chercher de l’eau au puits : alors que les Juifs ne croient pas et veulent lapider le Fils
de l’Homme, les Samaritains accomplissent la démarche de Foi : ils croient d’eux-mêmes, et non pas seulement sur les
dires de la Samaritaine.
Le fait que les Samaritains croient, en contraste avec l’attitude des Juifs, est un comble ! Car, aux yeux des Juifs,
les Samaritains sont des hérétiques au sens étymologique du terme : ils se sont divisés, séparés des Juifs en
établissant un Temple concurrent sur le mont Garizim (« le roi envoya un vieillard d’Athènes pour (…) profaner le Temple
de Jérusalem et le dédier à Jupiter Olympien, et celui du mont Garizim à Jupiter Hospitalier » (II Maccabées, 6 ; 1 – 2), violant
la prescription d’unité du culte en l’unique Temple de Jérusalem. Les Samaritains sont honnis par les Juifs : ce sont ceux à
qui l’on ne parle pas, ceux dont on traverse le territoire sans s’arrêter. « Samaritain » est une injure qui vient facilement
aux lèvres des Juifs : « n’avons-nous pas raison de dire que tu es un Samaritain ? » (Jn. 8 ; 48)
Première partie (4; 39) :
4 39 Un bon nombre de Samaritains de cette ville crurent en lui à cause de la parole de la femme, qui attestait : « Il m'a dit tout ce que j'ai fait. »
Les Samaritains – et non les Juifs – croient dans le Christ, entendant les paroles de la Samaritaine.
parallèle à : Dernière partie (4; 45) :
4 45 Quand donc il vint en Galilée, les Galiléens l'accueillirent, ayant vu tout ce qu'il avait fait à Jérusalem lors de la fête; car eux aussi étaient venus à la fête.
Les Galiléens – et non les Juifs – reçoivent le Christ, voyant ce qu’il fit à Jérusalem.
Deuxième partie (4; 40) :
4 40 Quand donc ils furent arrivés près de lui, les Samaritains le prièrent de demeurer chez eux.
parallèle à : Avant-dernière partie (4; 43-44) :
4 43 Après ces deux jours, il partit de là pour la Galilée.
44 Jésus avait en effet témoigné lui-même qu'un prophète ne jouit d’aucun égard dans sa propre patrie.
La Samarie ou la Galilée recevront mieux le Christ que la Judée.
Partie centrale (4; 41-42) :
4 41 et ils furent bien plus nombreux à croire, à cause de sa parole,
42 et ils disaient à la femme : « Ce n'est plus sur tes dires que nous croyons ; nous l'avons nous-mêmes entendu et nous
savons que c'est vraiment lui le Sauveur du monde. »
Ils font d’eux-mêmes cette démarche de Foi – c’est ce dont sont incapables les Juifs de Jérusalem.
L'objectif tracé initialement a-t-il été atteint ? ?
Dans le Temple de Jérusalem, lors de la Fête de la Dédicace, parmi les Juifs, c'est l'hiver de l'incroyance. Ils adressent
à Jésus un véritable ultimatum : « si tu es le Christ, dis-le nous clairement ». Ils veulent le lapider, car ils affirment
qu'il n'est qu'un homme, et qu'il se prétend Dieu. Jésus leur rappelle les Écritures qui disent « vous êtes des dieux »,
et qui affirment la divinisation possible de la créature humaine. Le Christ affirme l'unité fondamentale entre le Père et Lui.
C'est la Révélation qui nous est apportée, dans cette partie de l'Évangile de Jean. Dans le passage parallèle, le paysage est
tout différent : les Samaritains, considérés comme des hérétiques par les Juifs - exclus par eux - accueillent le Christ,
qui reste parmi eux pendant deux jours. Ils font une magnifique Confession de Foi : « nous savons que c'est vraiment Lui
le Sauveur du monde », et cette démarche de Foi, ils la font par eux-mêmes, en usant de leur propre liberté. - Cet ensemble
de textes n'est pas seulement historique ; il garde aujourd'hui toute son actualité : si les institutions ecclésiastiques
ne témoignent plus - à la fois de la divinité du Christ et de son Unité avec le Père - et de la vocation de l'être humain à
être divinisé, ces institutions sont comme « le sel qui ne sale plus » : on ne peut vraiment plus rien en faire ; elles sont
frappées du verdict d'inutilité, et le message est remis à d'autres, ceux qui étaient auparavant exclus et méprisés.
C'est une leçon qui doit s'adresser aux Églises, qui souvent prétendent être une religion d'amour tout en excluant et condamnant
une large partie de l'humanité - ces Églises qui se préoccupent bien davantage de diriger les sociétés par des règles morales
ou d'avoir leur part d'influence et de pouvoir politique - plutôt que de confesser la divinité du Christ et de montrer aux êtres
humains la voie de la divinisation, ce qui assurément ne confère ni richesse ni pouvoir.
Cette Étude nous permet d'ajouter deux cellules au bas de notre tableau récapitulatif :
- 1 - Le Prologue : Chapitre 1, versets 1 à 18. (Péricope 1) Étude 23 |
|
- 2 - Le pôle central de l’Évangile de Jean : La traversée de la mer : chapitre 6, versets 16 à 21. JE SUIS. Ne craignez pas. (Péricope 12) Étude 24 |
|
- 3 - Et sur l’autre versant : le Parallèle qui est la Péricope de la multiplication des pains : chapitre 6, versets 1 à 15. (Péricope 11) Étude 25 |
- 3 - Sur un versant de l’Évangile, nous avons la Révélation du Nom divin : JE SUIS le Pain de Vie : chapitre 6, versets 22 à 71. (Péricope 13) Étude 25 |
- 4 - Sur l’autre versant, nous avons le récit de la guérison du paralytique de Béthesda, chapitre 5 ; versets 1 à 18 (« ne pèche plus »). Le récit lui-même est suivi d’un premier texte doctrinal précisant les relations entre le Père et le Fils : chapitre 5, versets 19 à 30, et d’un deuxième texte doctrinal qui nous parle du témoignage en faveur du Fils : celui des « œuvres », témoignage qui est plus grand que celui de Jean-Baptiste : chapitre 5, versets 31 à 47. (Péricope 10) Étude 26 |
- 4 - Sur un versant de l’Évangile, nous avons la Révélation du Nom divin : JE SUIS la Lumière du monde du chapitre 7 ; 1 au chapitre 8 verset 59. Jésus à la Fête des Tabernacles : Discours sur l'Eau vive. Inclusion de la « Femme adultère » Chapitre 8, versets 1 à 11. (Péricope 14) Étude 26 |
- 5 - Sur l’autre versant, nous avons le récit de la guérison du fils du fonctionnaire royal, chapitre 4 ; versets 46 à 54. Il s'agit du reflet inversé du récit de la guérison de l'aveugle-né. (Péricope 9) Étude 27 |
- 5 - Sur un versant de l'Évangile (9; 1 - 10; 21), nous avons la Révélation des Noms divins : JE SUIS la Porte / le bon Berger. Guérison de l'aveugle-né : chapitre 9, 1 - 38. Le récit lui-même est suivi d'un TEXTE DOCTRINAL où se trouve l'intitulé des Noms divins : chapitre 9 ; 39 à 10 ; 21. Ce texte montre l'exclusivité de la Voie présentée par le Christ. (Péricope 15) Étude 27 |
- 6 - Sur l’autre versant, nous avons l'accueil des Samaritains. (Péricope 8) Étude 28 |
- 6 - Sur un versant de l'Évangile (10; 22 - 39), nous avons le Discours de la Dédicace : Révélation de la consubstantialité Père / Fils : Moi et mon Père, nous sommes UN. Divorce entre le peuple d'Israël et le Messie. (Péricope 16) Étude 28 |